Véronique Courcoux
Patrick Poivre d’Arvor rencontre sa première épouse en Bretagne, alors qu’il n’a que quinze ans. Véronique Courcoux, elle, en a vingt. D’ailleurs, à seize ans seulement, le célèbre journaliste de TF1 était père. Invité de l’émission de Frédéric Lopez, « La Parenthèse Inattendue », en mars 2014, il confiait à ce propos, se disant très fier : « On m’a vite fait comprendre que c’était quand même pas si bien. À l’époque, la majorité était à 21 ans, donc quand vous avez un enfant à 16 ans… La maman avait cinq ans de plus que moi mais quand même, ça n’excusait pas tout. J’étais plutôt content ».
C’est neuf ans plus tard, en 1971 que le couple se marie. Après avoir exercée comme institutrice, Véronique Courcoux devient mère au foyer. Il faut dire que cinq enfants naitront de leur idylle : Dorothée (1963), Arnaud (1972), Tiphaine (1974), Solenn (1975) et Morgane (1981). Deux d’entre eux décèderont tragiquement, Tiphaine à l’âge d’un an et Solenn à l’âge de 19 ans.
D’ailleurs le couple vit des instants chaotiques alors que Patrick Poivre d’Arvor collectionne les maitresses. Leur divorce, tardif, survient en 2010.
Claire Castillon
Le journaliste entretient une relation de trois ans, au début des années 2000, avec l’écrivaine Claire Castillon. Leur liaison fait jaser et propulse la jeune femme sous le feu des projecteurs, alors que Patrick Poivre d’Arvor est de trente ans son aîné.
Claire Castillon raconte, elle, qu’elle a eu le « coup de foudre » pour le journaliste sur le plateau de l’émission « Place aux livres », qu’il présente à l’époque sur LCI. Conquête parmi d’autres, l’écrivaine revient sur les affres de son histoire avec Patrick Poivre d’Arvor dans son oeuvre « Je prends racine » où elle fait le récit d’une ancienne maitresse délaissée.
De son côté, Patrick Poivre d’Arvor évoque leur idylle dans son livre « La Mort de Don Juan ».
Agathe Borne
Patrick Poivre d’Arvor connait ensuite une liaison avec Agathe Borne, de 25 ans sa cadette, entre 2007 et 2008. Il la rencontre dans les gradins de Roland-Garros, puis elle devient chroniqueuse dans l’émission « Vol de nuit » qu’il anime à l’époque sur TF1.
Mais si leur idylle est connue, c’est surtout pour leurs démêlés avec la justice. En effet, les amants se déchirent devant le tribunal alors qu’Agathe Borne accuse le journaliste d' »atteinte à la vie privée ». C’est la sortie du livre de PPDA, « Fragments d’une femme perdue », où il raconte l’histoire d’amour d’Alexis et Violette, dont la ressemblance est troublante avec son idylle, réelle, avec Agathe Borne qui force celle-ci à porter plainte.
Dans une interview donnée à Paris Match en 2011, la plaignante confiait : « On s’est rencontrés exactement comme il le décrit dans son livre, à Roland-Garros. C’est simple, son récit est fidèle à notre histoire pour les lieux, les dates, les voyages. C’est comme s’il avait recopié son agenda, mais en y ajoutant des éléments d’ordre intime dans le seul objectif de m’humilier. A part ça, ce livre, c’est ma vie ». Elle l’accuse même d’avoir volé certains de ses écrits et recopié des morceaux de lettres d’amour échangés entre eux.
Pourtant PPDA n’en a jamais démordu, l’héroïne n’a rien à voir avec son ex-amante. Après la sentence du tribunal qui l’assignait à 33 000 euros d’amande, le journaliste écrivait sur son site personnel : « Il est piquant d’observer qu’une femme qui disait ne pas vouloir être reconnue se mette à crier sur tous les toits: « C’est moi ! », avec l’espoir d’entrer ainsi en littérature dans la peau d’une héroïne. Mais n’est pas héroïne qui veut, surtout pas avec des SMS ou des brouillons de lettres d’amour ».
Il concluait avec humour : « Chacun croit raconter sa vérité, l’héroïne comme les autres. Il se trouve que le héros se suicide à la fin et que si je devais être ce héros-là, je serais bien en peine de signer ces lignes ! ».
Claire Chazal
Son idylle la plus marquante est certainement celle qu’il a entretenu avec sa collègue de l’époque, Claire Chazal. Une histoire souvent insinuée dans la presse mais dont les amants n’ont jamais parlé ouvertement. De leur histoire nait, François, en avril 1995 dont Patrick Poivre d’Arvor ne reconnait la paternité en 2005 dans son livre « Confessions ».
Dans le livre « Claire Chazal, une passion française » de Marie Bernard, paru en 2015, on découvre que le couple a connu quelques tensions du fait qu’ils travaillaient ensemble et que cela impliquait une certaine compétition entre eux. « Poivre avait très peur de perdre son poste. Claire représentait une menace (…) Patrick ne lui faisait pas de cadeau », peut-on lire dans le livre. Des propos qu’a confirmé le frère de la journaliste, déclarant : « Entretenir une relation avec une personne qui travaille dans la même entreprise que vous comporte toujours un risque (…) Ce fut pour elle une période compliquée ».
Véritable Don Juan, on prête bien d’autres liaisons à Patrick Poivre d’Arvor, ajoutant à son tableau de chasse des noms comme Patricia Kaas ou encore Béatrice Dalle. Ces femmes proches du journaliste n’ont, à ce jour, jamais confirmé ces idylles.
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